Les études sur les adultes et enfants vaccinés vs non-vaccinés ont été rejetées par le gouvernement américain comme jugées « contraires à l’éthique », mais récemment, des chercheurs de Hong Kong ont mené cette étude importante.
Le test a été mené sur des sujets vaccinés vs non-vaccinés en ce qui concerne le vaccin antigrippal. Ceci est probablement la seule étude réelle et récente dans laquelle un vrai placebo a été utilisé et comparé au vaccin.
Les résultats sont stupéfiants. Ils montrent que les personnes qui avaient reçu le vaccin antigrippal souffraient 5,5 fois plus d’autres infections respiratoires que le groupe placebo.
Si vous prenez le vaccin contre la grippe dans l’espoir de vous protéger contre la maladie, cela peut en fait aboutir au résultat contraire, en augmentant plus de 5 fois votre risque de tomber malade que si vous ne le preniez pas du tout. Ce résultat montrant un risque accru de 5,5 fois d’attraper une maladie respiratoire provient d’une étude publiée dans Clinical Infectious Diseases.
Cette étude est différente des précédentes : c’était un essai en double aveugle contre placebo, où les chercheurs ont utilisé un placebo véritablement inactif (solution saline), à la place du vaccin antigrippal. La plupart des autres essais ont utilisé des placebos actifs, c’est-à-dire des substances qui contiennent des ingrédients réellement utilisés dans les vaccins, ce qui rendait les études non concluantes. Un fait qui n’est pas souvent mentionné dans les compte-rendus finaux.
L’étude a suivi les participants sur une moyenne de 272 jours. Le vaccin antigrippal actif était le Vaxgrip de Sanofi Pasteur. L’essai a été conduit sur des enfants de 6 à 15 ans. 69 d’entre eux ont reçu le Vaxigrip et 46 ont reçu la solution saline placebo.
En ce qui concerne l’efficacité contre la grippe, les auteurs ont écrit :
- Il n’y a eu aucune différence statistique significative concernant le risque d’infection de la grippe saisonnière confirmée entre ceux qui avaient reçu le VTI (vaccin antigrippal trivalent inactivé) et ceux qui avaient reçu le placebo.
Ce qui signifie que le vaccin antigrippal n’a effectivement aucun avantage.
Le fabricant du vaccin a essayé de l’occulter en ajoutant :
- Ceux qui ont reçu le VTI avaient des risques significativement plus faibles de contracter la grippe saisonnière sur la base de preuves sérologiques.
En l’occurrence, les fabricants tentent de suggérer que, même si les personnes vaccinées ont réellement souffert de la grippe autant que celles qui ont reçu le placebo, elles en ont tout de même bénéficié en fin de compte en raison des « preuves sérologiques ». Cette « preuve sérologique » consiste en anticorps produits à la suite du vaccin, ce qui est en fait la méthode classique pour déterminer l’efficacité d’un vaccin.
Toute cette histoire s’aggrave lorsqu’on constate les résultats montrant que les vaccinés ont eu 5,5 fois plus de maladies respiratoires. Voici le détail des résultats :
Même si les fabricants essaient de prétendre le contraire, nous pouvons voir aux résultats qu’il y avait un total de 116 cas de grippe dans le groupe vacciné, et 88 dans le groupe placebo ; ce qui signifie que ceux qui ont été vaccinés étaient 5,5 fois plus susceptibles de contracter une maladie respiratoire confirmée.
Il y a aussi d’autres maladies respiratoires que les gens étaient plus susceptibles de contracter après avoir été vaccinés contre la grippe. Le tableau indique le Coxsackie et le virus Echo, qui sont tous les deux connus pour causer la méningite, la paralysie, l’hépatite et des troubles cardiaques. La même chose est vraie du virus de la polio même s’il est moins commun. Il provoque également une maladie respiratoire habituellement mineure, mais dans certains cas rares, il peut entrainer le même préjudice que le Coxsackie et l’Echovirus.
Implications
Les implications de cette étude sont assez graves.
Les chercheurs suggèrent :
- Le VTI pourrait augmenter l’immunité contre la grippe au détriment de l’immunité réduite vis-à-vis de virus respiratoires par un mécanisme biologique inconnu. Une autre hypothèse serait que nos résultats pourraient s’expliquer par l’immunité non spécifique temporaire après l’infection par le virus de la grippe, par le biais de la réponse à médiation cellulaire, ou, plus probablement, la réponse immunitaire innée à l’infection.
Plus simplement, le fait d’injecter des anticorps dans le corps est probablement néfaste pour la réponse immunitaire à médiation cellulaire, qui est la partie protectrice du système immunitaire ne nécessitant pas le développement d’anticorps.
Pour résumer, cette étude a démontré :
- Les vaccins antigrippaux ne présentent aucun avantage.
- Les vaccins grippaux provoquent un nombre extrêmement accru de maladies respiratoires.
- Les vaccins contre la grippe – et très probablement d’autres vaccins – nuisent à la réponse immunitaire innée à médiation cellulaire, qui se traduit par une augmentation significative des incidents de maladies infectieuses.
Nous sommes constamment trompés sur les dangers des vaccins. La FDA américaine, le CDC (centre de contrôle des médicaments), et le NIH (Institut national de la santé), le NHS britannique (Service national de la santé), le MHRA (Agence de régulation des produits de santé et médicaments), DOH (Ministère de la santé), ANPHA (Agence australienne nationale de la santé préventive), les autorités canadiennes de la santé, plus WHO international (OMS), ainsi que de nombreuses autres institutions similaires ne veulent que nous maintenir dans la confusion.
https://youtu.be/CAJb01ZiJNk?t=3
Ils utilisent la peur pour maintenir la population effrayée de ne pas vacciner leurs enfants, alors que la triste vérité est que généralement, ces vaccins n’existent pas pour nous protéger, mais pour produire de l’argent pour les industries pharmaceutiques qui les créent.
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